NEW (Namur Europe Wallonie)
Bibliotheca Floreffia (La mémoire de Floreffe)
Crup’échos (Le village de Crupet)
Marc Ronvaux
In memoriam
Françoise Jacquet-Ladrier (1938-2011)
Françoise Ladrier, qui fut pendant vingt ans la présidente de notre société, est décédée en octobre 2011.
L'ASBL Sambre et Meuse a constitué à sa mémoire un fonds Jacquet-Ladrier, déposé aux Fonds Patrimoniaux de la Ville de Namur, rue
de l'Etoile. Ce fonds regroupe environ 200 ouvrages relatifs à l'histoire et au patrimoine namurois, ouvrages issus de la bibliothèque
personnelle de Françoise et et Philippe Jacquet-Ladrier, ainsi que des réserves de la société. Il est à la disposition du public. Plusieurs
dossiers de notes de recherche établies par Philippe et Françoise Jacquet-Ladrier seront déposés aux Archives de l'Etat à Namur après
leur déménagement au boulevard Cauchy en 2014.
La Société a publié en avril 2013 un numéro spécial consacré à la réédition de douze études historiques significatives de l'oeuvre de
Françoise Ladrier devenues aujourd'hui peu accessibles. Cette publication, préfacée par Jean-Marie Duvosquel, peut encore être
commandée.
In Memoriam Bibliographie
Michel Arnold (1941-2018)
Membre de notre Conseil d’Administration, Michel Arnold faisait figure de vieux sage amical, fidèle et discret, esprit fin et délié, regard
attentif fait d’humanisme et de curiosité. Il avait produit plusieurs articles pour nos Cahiers et l’un de ses derniers soucis avant sa mort
a été de transmettre à notre société ses travaux historiques en cours.
Économiste de formation, Michel Arnold a enseigné à l’Institut Technique de Namur, dont il est devenu directeur, tout en donnant cours
dans un organisme dépendant des Facultés universitaires catholiques de Lille. Il est ensuite devenu chargé de mission pour la
Communauté française. Ses activités littéraires étaient multiples : il était poète, romancier, critique d’art, spécialement intéressé par
l’art contemporain, qu’il illustrait sous le pseudonyme de Mika. C’était aussi un grand connaisseur de la vie régionale et de sa chère ville
de Namur, à laquelle il a consacré de nombreux articles, spécialement en tant que cheville ouvrière de la revue Confluent. Amoureux de
la langue française, fin connaisseur de ses subtilités, il était aussi attaché au livre en tant qu’objet et était ainsi devenu artisan relieur.